France 24 - Infos, news & actualités - L'information internationale en direct - Andrew Johnson, épargné à une voix près en 1868 -Le premier processus de destitution de l'histoire américaine vise le président Andrew Johnson, un démocrate du Sud, vice-président d'Abraham Lincoln et propulsé à la Maison Blanche après l'assassinat de ce dernier en 1865.

La présidente démocrate de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a annoncé mardi 24 septembre le lancement... Le Capitole, à Washington - le 23 mai 2019 - où se situent les deux chambres du Congrès américains, la Chambre des représentants, et le Sénat Plus Washington (AFP) - Avant Donald Trump, seuls trois présidents ont fait l'objet d'une procédure en vue d'une destitution mais aucun n'a été destitué. Il reste au pouvoir, mais perd l'investiture de son parti pour l'élection présidentielle suivante. Avant Donald Trump, seuls trois présidents ont fait l'objet d'une procédure en vue d'une destitution mais aucun n'a été destitué. "Première fois que j'entends cela", a-t-il ajouté en balayant les informations de "seconde main" des témoins.Avec une dizaine d'auditions prévues d'ici au 20 novembre, les démocrates veulent mener leur enquête sans "délai". Les auditions à la commission judiciaire commencent le 9 mai 1974 et fin juillet, la commission judiciaire retient trois motifs de destitution à l'encontre de M. Nixon (entrave à la justice, abus de pouvoir et refus de se soumettre aux assignations) et transmet le dossier à la Chambre.Mais M. Nixon démissionne le 9 août, avant le vote de la Chambre qui, le 20 août, décide néanmoins d'adopter le rapport de la commission par 412 voix contre 3.Le 8 septembre, son successeur Gerald Ford lui accorde un pardon total.La troisième procédure d'«impeachment» est engagée le 8 octobre 1998 à l'encontre de Bill Clinton accusé d'avoir nié, sous serment, avoir eu des relations sexuelles avec Monica Lewinsky, stagiaire à la Maison Blanche entre 1995 et 1997.La Chambre des représentants vote l'ouverture d'une enquête sur le rôle du président démocrate dans l'affaire Lewinsky, dite «Monicagate» (du prénom de Monica Lewinsky).

Conformément à la Constitution, le procès du président s'ouvre au Sénat en janvier 1999 mais la procédure d'accusation n'obtient pas la majorité des deux-tiers des voix des sénateurs.

        Washington (AFP) -  Alors que la Chambre des représentants s'apprête à le destituer de ses fonctions, le président des États-Unis, Richard M. Nixon, annonce sa démission.Il devient par le fait même le premier président américain à quitter son poste de cette façon.

C’est un témoin clé qui a été entendu mercredi 13 novembre par le Congrès américain au cours des premières auditions publiques, dans Les démocrates soupçonnent le milliardaire républicain d'avoir abusé de ses pouvoirs présidentiels Ancien combattant au Vietnam, cheveux gris et visage aux traits sévères, l'ambassadeur américain de facto en Ukraine, William Taylor, a ouvert le bal de ces dépositions historiques aux côtés d'un autre diplomate de carrière, George Kent, haut responsable du département d'État spécialiste de l'Ukraine.Willima Taylor a rapporté les propos de l'ambassadeur américain auprès de l'Union européenne, Gordon Sondland, selon qui le président américain "s'intéressait" davantage à l'ouverture d'une enquête sur Joe Biden en Ukraine qu'à la situation dans ce pays.Sous serment, William Taylor a surpris en révélant avoir appris récemment  l'existence de cette déclaration faite le 26 juillet, juste après un entretien entre Donald Trump et Gordon Sondland.Selon la retranscription du témoignage à huis clos de William Taylor, il a jugé que l'idée de bloquer une aide militaire au profit d'une campagne politique domestique était selon lui une "folie".Ce témoignage alimente la thèse des démocrates selon laquelle Donald Trump a demandé une contrepartie à Kiev pour les 391 millions de dollars d'aide destinés à faire face aux séparatistes prorusses de l'est de l'Ukraine - une aide provisoirement suspendue par le président républicain malgré son approbation au Congrès.

Il s'engage dans une féroce bataille avec le Congrès qui bloque toutes les lois, et notamment les «black codes» (lois racistes) votés par les représentants du Sud. La Chambre des représentants vote l'ouverture d'une enquête sur le rôle du président démocrate dans l'affaire Lewinsky, dite «Monicagate» (du prénom de Monica Lewinsky).

Il reste au pouvoir jusqu'à la fin de son mandat en 2001. Un procès s'ensuit dans une ambiance d'insurrection nationale rapportée par l'écrivain Mark Twain mais le 16 mai, lors du vote final du Sénat, le président évite d'une voix la destitution.