BirthME, Doulas

@Lola : Si on faisait une étude sur la question, on serait sûrement étonné de la « typologie » des amateurs de rap en France. Qu’il soit moral ou non, opposé au pouvoir ou non, n’est au fond pas bien important. Mais ça tend alors à prouver que la qualité intrinsèque du film devait être très très faible si un gros casting n’a pas pu sauver les meubles…Oui donc c’est bien ça : un casting de stars n’attire pas forcément des millions de spectateurs… Si le film est nul, il est nul.– Si le film est super, avec un casting anonyme, il fera 2 millions, grace au bouche à oreille. Et mauvais. C’est la raison pour laquelle je ne vois pas de vrai essor pour le rap à la télévision en France.En tout cas, merci à Benjamin pour ce billet et à Pierre pour sa volonté d’élargir autant que possible les horizons de son blog.Merci d’attirer mon attention sur le lien entre musique de merde et séries de merde made in France… ça fait bien longtemps que le rap, comme le rock, n’a plus aucune dimension contestataire (et ne me parlez pas de la suisso-libanaise pro-pal’ dont je préfère oublier le nom… à mourir de rire). Un peu comme LeBron James qui se fait vilipender aujourd’hui pour sa déroute face aux Mavs. Ils ne doivent pas tous ressembler à l’image caricaturale que l’on s’en fait, loin de là.Knudson a dit : « On se plaît aujourd’hui à faire de Booba le roi du rap décérébré et « commercial » mais on a tendance à oublier qu’il a forgé l’histoire de cette musique à travers les albums ‘Mauvais Œil’ -en collaboration avec Ali, avec qui il formait le groupe Lunatic- et ‘Temps Mort’ (personnellement, mes deux albums préférés de rap français).

En près d’un demi-siècle, il a eu le temps de se fondre dans l’esthétique, les valeurs, le langage américains. On a donc des clashs (Contrairement aux Etats-Unis, où les racines du rap sont conscientisées, la France a perdu un peu le sens de la musique. Il ne lui aura pas fallu bien longtemps pour s’imposer. Fondateur du collectif de rap français 92i, il est considéré comme l’un des plus grands rappeurs de sa génération.De son vrai nom Gandhi Djuna, il est né à Kinshasa (RDC). Retrouvez toute son actu, ajoutez d'autres stars et soyez alerté à chaque nouvelle actu de vos stars ajoutées Avec un casting de stars il fera 5, 10, 20 millions.– Si le film est nul, avec un casting anonyme il fera 50-100,000. @Denzelox : N’hésite pas à proposer ta propre playlist, je suis toujours à l’affût de nouvelles découvertes. Il obtient en 2000 avec son groupe une Victoire de la Musique grâce à l’album Également d’origine congolaise, cet ancien diplômé de la Sorbonne sort son premier album solo intitulé Mais, saviez-vous que bon nombre de ces rappeurs, pour la plupart américains et français, ont des ascendances africaines ?

Par contre le rap comme sujet principal d’une fiction comme De l’Encre sont de bonnes initiatives, ou de vrais rôles pour les rappeurs (comme dans Oz avec Method Man et Lord Jamar des Brand Nubian (Supreme Allah)) mais la plupart du temps ils sont là pour jouer leurs propre rôle et ça n’apporte rien à la série, à part peut être pour Saigon dans Entourage où son rôle même si il est secondaire est intégré a la trame scénaristique.Je crois qu’il y a un fossé énorme entre les USA et la France: la qualité.

Une révélation difficile à confirmer, même si Beyoncé semble le dire dans son dernier album, celui qui accompagne la sortie du film du Roi Lion, « The Lion King : The Gift » à travers une petite phrase qui enflamme le web et, qui a été reprise par des milliers de personnes sur les réseaux sociaux. Une étincelle menace de le faire exploser à tout moment. le 20 juillet 2020 - Une seule et même origine pour Lacrim, PNL ou encore Djadja & Dinaz : Abonnez-vous au coaching Bien-être à la maison by Voici ! Beyonce origine africaine Quelles sont les origines de Beyoncé, la diva américaine . Quand on parle de rap, on parle de hip-hop et donc, forcément, des Etats-Unis. Marrant d’ailleurs de voir des mecs de B-More écouter du rap du Sud plutôt que new-yorkais (lesquels se font d’ailleurs dessouder par Chris et Snoop). Ce n’est évidemment pas un sentiment que je partage, considérant qu’Orelsan, par exemple, est le degré zéro du rap (ce qui ne l’empêche pas de collaborer avec des artistes plus chevronnés, à mon plus grand étonnement). C'est au début de cette année 2020 que le grand public a fait la connaissance de Bosh. Pendant qu’on parle de Sexion d’assaut ou de la Fouine, on oublie un peu Ali (qui vient de sortir un album intitulé Le Rassemblement), Casey ou d’autres qui font le travail sans se dénaturer.Ils écoutent Jay-Z dans la 1ère saison (dans a scène où Wee Bey rappelle à Dee de ne pas parler dans a voiture) et puis la scène de Baltimore ressemble plus à ce qui peut se faire dans le Sud, des sons electros, orientés club, bpm rapide etc (go go rap, ils y font référence quand Stringer va à Philly en parlant de club, puis quand Chris & Snoop cherchent une question à poser aux dealers pour savoir si ils sont New Yorkais ou pas, ils évoquent Young Leak : Mais même sans ça il y a rien d’étonnant à ce que des jeunes venant de la cote Est écoutent principalement du dirty south, la tendance n’est pas locale et les hits font rapidement le tour du pays puis du monde.Pour en revenir au sujet à proprement parler de l’article tant mieux si le rap est sous représenté médiatiquement à la télévision, si c’est pour se taper la Sexion ou Orelsan dans des épisodes de Corinne Touzet c’est pas la peine et pour les USA l’apparition de guest issues du rap sont rarement passionnantes et au final rabâchent les trop nombreux clichés autour de ce genre musical.
Car Ekoué et Hamé connaissent par cœur les mécanismes sous-tendant le rap et, de manière plus générale, l’industrie du disque, pour avoir sillonné les salles de concert et les MJC pendant plus de quinze ans. le 30 octobre 2018

Bosh, jeune rappeur français, s'est retrouvé sur le devant de la scène grâce à Validé, la nouvelle série de Franck Gastambide pour Canal +. Comment voulez-vous que les gens « mainstreams », comme vous dîtes, s’emparent d’une (sous)culture qui se complait à prendre des poses autour de son nombril banlieusard avec des samples bidons sortis tels quels des banques de sons du commerce et des textes qui n’intéressent que ceux qui les déclament?Le mainstream péquenot de base, dont je fais certainement partie, doit se dire la même chose que moi: on en a vu un, on les a tous vu.Enfin, je dis ça, je dis rien, vu que je n’aime pas le rap, je précise tout de même.